Nous allons continuer notre série de présentation des travaux publiés par les institutions internationales consacrés au Cameroun. Il sera question ici de la Banque Mondiale et par la suite, nous étendrons notre champ d'étude à d'autres sphères de la gouvernance mondiale. Tour à tour suivront la CEMAC, la BEAC, l'AFD (Agence Française de Développement), l'OMC, la CNUCED, le FAO, BIT,...etc. La question qui vient à l'esprit instantanément est celle de savoir pourquoi aborder toutes ces agences et leur rapport avec l'économie camerounaise. Il faudrait savoir que le Cameroun est un pays membre de ces diverses agences onusiennes et à ce titre, a signé des conventions internationales et se trouve dans un processus continu de coopération et de concertation avec elles. Mais au delà de ces aspects coopératifs, il y a l'édiction de normes internationales qui s'appliquent, même en différé, à notre pays : des transferts de souveraineté s'opèrent de plus en plus. Envisager la politique économique du Cameroun sans l'inscrire dans ce cadre fausserai le jeu de l'analyse et la conclusion. Comment envisager l'économie camerounaise sans tenir compte du processus d'intégration sous régionale (CEMAC), de l'IPPTE (FMI et BM), des C2D (AFD)...etc.
Un important travail de tri et de sélection se poursuit et nous vous en délivrerons les résultats prochainement.
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